L’art à Saint-Germain-des-Prés

La passion comme boussole, celle de Sigrid de Montrond maîtresse des lieux renommés de l’Atelier Visconti, situé dans la rue éponyme, l’a guidée vers le Pacifique.

3 m2. C’est la surface de la toute nouvelle « The smallest Art Galllery in the World ».

Après le succès prévisible de l’évènement d’Olivero Toscani « Marions-les », des tirages grand format de ces photos seront en vente prochainement à La Hune.

Qui attendait ce jeune galeriste d’origine sino-vietnamienne à la tête de l’une des plus belles galeries de Saint-Germain ? Une telle réussite mérite l’attention.

« Le Poche », comme disent les habitués, a une longue histoire derrière lui : Duras ou Ionesco y ont présenté leurs pièces, les Bierry qui l’ont longtemps dirigé ont remporté plusieurs Molière.

Avec la création de la galerie japonaise au sein de l’Atelier Visconti, Sigrid et Xavier de Montrond prouvent une fois encore leur passion commune et leur connaissance subtile de l’art profond de l’Empire du Soleil Levant.

On vient de loin, pour découvrir, rue Bonaparte, cette librairie atypique qui rappelle avec bonheur les cabinets de curiosités du XVIIIe siècle.

Georges-Philippe Vallois revient sur la place de la France et sur le rôle clé du galeriste dans le marché de l’art.

Méconnus pendant longtemps, les arts premiers connaissent aujourd’hui le respect qu’ils méritent. Passionnée par le sujet, la famille Ratton se bat pour faire partager sa passion.

À la Galerie Marcilhac, les jeunes reprennent le flambeau de l’Art déco. Très en vogue depuis les années 1970, l’Art déco connaît aujourd’hui un rayonnement international.

La mythique librairie-galerie La Hune, fondée en 1949 et consacrée à la photographie, crée un concept inédit.

Arrêt sur image dans nos salles obscures devenues des lieux de rencontre et de partage ! Pour une pause café, un tea-break ou un déjeuner, Cerise vous guide dans tous les cinémas de quartier où la magie de la convivialité opère... moteur! Qu'on se le dise, le quartier...

Luxe, calme et volupté. C’est rue de Buci que l’on vient pour toucher de l’œil et contempler du doigt, certains des plus beaux livres d’art jamais édités.